domingo, 30 de março de 2014

Presidente Dilma diz que o BRASIL vai bem e irá melhorar

A presidente Dilma Rousseff (PT) afirmou que a economia brasileira vai muito bem e que irá melhorar. Não duvido que a economia brasileira esteja muito bem (no seu conjunto). É a economia do mais pobre, do fodido, do favelado, do trabalhador braçal que vai mal, esta sim, esta vai muito mal e pode - com os índices inflacionarios atuais -, pode grandemente piorar com a MACROPOLÍTICA ECONÔMICA do governo. Tenho dito!!!

Malgré la baisse de sa note, le Brésil « va bien et ira mieux »

PIB« Nous sommes convaincus de l'absolue nécessité de préserver la solidité des fondamentaux macroéconomiques du pays » a déclaré Dilma Roussef.
« Nous sommes convaincus de l'absolue nécessité de préserver la solidité des fondamentaux macroéconomiques du pays » a déclaré Dilma Roussef.
latribune.fr  |   -  259  mots
La présidente du Brésil, Dilma Roussef, a assuré que l’économie de son pays, dont la note de solvabilité a été abaissée par S&P, saura répondre « de façon robuste » aux défis internationaux.
A trois mois de la Coupe du monde de football mais aussi à six mois de l'élection présidentielle, la décision de Standard and Poor's (S&P) d'abaisser la note du Brésil lundi, de BBB à BBB-, est tombée au plus mauvais moment. L'agence de notation financière anticipe un maintien de la croissance à un niveau faible, une analyse contestée par le gouvernement. « Le Brésil va bien et ira mieux », a ainsi assuré la présidente Dilma Rousseff, devant l'assemblée annuelle de la Banque intéraméricaine de développement, qui se réunissait dans l'Etat de Bahia. « Nous sommes convaincus de l'absolue nécessité de préserver la solidité des fondamentaux macroéconomiques du pays » a-t-elle déclaré, ajoutant que le Brésil allait répondre « de façon robuste » aux défis internationaux.

Espoir d'inflexion de la politique économique

Un sondage montrant une baisse de popularité de la présidente sortante jeudi a fait s'envoler la Bourse de Sao Paulo et le real brésilien, dans l'espoir d'un changement de politique plus favorable aux marchés. Dilma Roussef reste favorite mais les investisseurs tablent sur une inflexion de sa politique, jugée trop interventionniste sur le plan économique. En 2013, la hausse du PIB a été modeste, +2,3%, et ce pour la troisième année consécutive, après les +7,5% atteints en 2010. En 2014, la Banque centrale prévoit une croissance de 2% du PIB, soit un demi-point de moins que l'estimation du gouvernement. S&P n'attend que 1,8% de croissance en 2014 et 2% en 2015.

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