sexta-feira, 20 de dezembro de 2013

MAIS UM: Uganda criminaliza homossexualidade

En Ouganda, les personnes homosexuelles pourraient risquer la prison à vie









Le parlement ougandais a voté vendredi 20 décembre une loi rendant l'homosexualité et sa promotion passibles d'emprisonnement à vie. | Flickr/torbakhopper

Le parlement ougandais a voté vendredi 20 décembre une loi rendant l'homosexualité et sa promotion passibles d'emprisonnement à vie.

Les parlementaires ougandais ont voté, vendredi 20 décembre, un projet de loi durcissant la répression de certains actes considérés comme homosexuels et prévoyant l'emprisonnement à vie en cas de récidive. Le projet de loi doit maintenant être soumis au président Yoweri Museveni.
L'homosexualité est déjà condamnée en Ouganda, mais la nouvelle loi durcit les peines et criminalise sa publicité, y compris les discussions de groupes militants. Le projet, qui remonte à 2009, avait été mis entre parenthèses en raison d'une levée de boucliers internationale. Le président Barack Obama l'avait alors qualifié d'« odieux ».
VIVES RÉACTIONS
Le vote de vendredi a provoqué de vives réactions. « Je suis officiellement dans l'illégalité », a commenté le militant homosexuel Frank Mugisha. Leslie Lefkow, de Human Rights Watch, a appelé le président Museveni « à ne pas signer la loi antihomosexuelle abjecte qui vient d'être adoptée ».
L'homophobie est très répandue en Ouganda. Des militants des droits humains y ont rapporté des cas de viol collectif de lesbiennes. En 2011, un militant des droits des homosexuels, David Kato, avait été poignardé à mort à son domicile après la publication dans un journal de noms, photographies et adresses d'homosexuels vivant en Ouganda sous le titre : « Pendez-les »

EFEITOS PÓS PLC 122: OS PULGÕES TECEM MENTALIDADE

EU LHES HAVIA DITO que após a derrota do PLC 122 os pequenos reacionários movimentar-se-iam. O sepultamento do PLC 122 não acabava de vez com a espécie de pulgões. Diante da derrota era preciso reinventar os caminhos e fazer o elogio do que chamam, os militantes, de CONQUISTAS. Os praticantes desta política mínima, estreita, direitista/legalista goza ainda de grande força no cenário social, cultural, intelectual, científico. A saída do pastor Marcos Feliciano da Comissão de Direitos Humanos (CDHM) deve premiar agora os homossexuais e outras "minorias". É preciso O SOMA de Huxley para não deixar a "peteca" cair. Uma política positiva para ninar criancinhas.