INCRÍVEL como o ClickPB, portal de Cícero Lucena (PSDB), vem insistentemente BATENDO no prefeito Luciano Agra (PSB). Também pudera, Luciano Agra ultrapassou Cícero Lucena na última pesquisa de intenção de votos realizado pelo DATAVOX. Se fossemos comparar a VIDA POLÍTICA de Zé Maranhão e a de Luciano Agra quem mais tem MÁCULAS: Maranhão ou Agra? Entretanto, o CLICKPB não divulga sequer uma NOTINHA das canalhices políticas - que a imprensa local já denunciara - do ex-governador, sequer diz que ele se acha com dificuldades de LIMPAR O NOME, quer dizer, sequer conseguiu PROVAR ou JUSTIFICAR seus gastos com a última campanha para governador em que saiu derrotado. Pois é, o ClickPB vai bater muito em AGRA. Tenho pra mim que quanto mais se bate num gambá mais ele fede. Acho que o ClickPB aposta em um tipo de política contrária: deve ser por isto que Agra subiu nas pesquisas e Cícero que até já liderou as intenções de votos caiu para terceiro lugar. Tenho dito!!!
segunda-feira, 28 de maio de 2012
Gasolina na Parahyba é como PAU DE APOSENTADO: sobe e desce o tempo inteiro com APLICAÇÃO de VIAGRA
Os postos de combustíveis em João Pessoa resolveram aumentar a "gasosa" mais uma vez. Como pau de velho, o preço da gasolina sobe e desce o tempo inteiro sem se sustentar nem em cima, nem em baixo. O que explica esta mudança de preço, assim, de repente? No posto EXTRA, por exemplo, o preço do litro da gasolina custava até domingo pela manhã R$ 2, 35 o mais barato que encontrei. Agora os POSTOS subiram os preços para R$ 2, 69. Terá sido o EFEITO IPI concedido pelo governo federal? Com mais carros na rua os donos de postos querem lucrar mais? Vai saber... Tenho dito!!!
LE FIGARO: Québec : cent jours de révolte étudiante
Après plus de cent jours de manifestations étudiantes (ici le 26 mai à Montréal), la contestation s'est étendue au reste de la population après le vote, le 18 mai, de la loi d'exception, dite «loi 78», qui restreint temporairement les libertés d'expression et de rassemblement au Québec. Crédits photo : ROGERIO BARBOSA/AFP
Après avoir envenimé le conflit en publiant une loi d'exception, le gouvernement tente de sortir de la crise.
Pour la trente-deuxième nuit consécutive, les casseroles, tambours et cornes de brume ont résonné samedi dans les quartiers résidentiels de Montréal, à peine importunés par la pluie battante survenue sans crier gare. Une dizaine de milliers de personnes, battant joyeusement sur leurs ustensiles de cuisine, ont arpenté la capitale économique d'est en ouest, avant de se disperser une nouvelle fois sans violence.
Le bref orage a cédé la place à une brise fraîche, porteuse d'espoir dans le conflit étudiant qui, depuis plus de trois mois, bouleverse la vie quotidienne du Québec. Comme une lueur au bout du tunnel, l'annonce de la reprise des négociations lundi après-midi (20h, heure française) entre la ministre québécoise de l'Éducation, Michelle Courchesne, et les organisations syndicales étudiantes a suscité un discret soulagement général, après 107 jours de manifestations quasi ininterrompues.
Le premier ministre Jean Charest (à droite) et la ministre québécoise de l'Éducation, Michelle Courchesne. Crédits photo : MATHIEU BELANGER/REUTERS
Malgré cette embellie saluée par les médias québécois, l'espoir d'une sortie de crise rapide demeure ténu, tant les positions des uns et des autres semblent irréconciliables. Le premier ministre Jean Charest (Parti libéral, conservateur) refuse de remettre en cause le principe d'une hausse des frais d'inscription universitaires. Les trois principaux syndicats étudiants, eux, exigent un moratoire pur et simple sur cette hausse. Même si le porte-parole de l'un d'entre eux, Léo Bureau-Blouin, de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), a laissé entendre qu'il pourrait entériner le principe d'une hausse, à condition que le gouvernement Charest «accepte de bouger» lui aussi dans la bonne direction.
«Au point où on en est, nous devrions enfermer tout ce beau monde dans une église, ironise Vincent Parissal, chroniqueur du quotidien La Presse, et ne les laisser sortir que lorsque la fumée blanche du consensus s'échappera de la cheminée.»
Déjà largement viciée, la situation se complique encore un peu plus du fait dela loi d'exception, dite «loi 78», votée le 18 mai dernier et restreignant temporairement les libertés d'expression et de rassemblement au Québec. Jugée abusive, voire «liberticide», par les étudiants, cette loi a eu pour effet de faire descendre dans la rue des dizaines de milliers de personnes, dont beaucoup ne se reconnaissaient pourtant pas dans les revendications étudiantes. Un sondage révélait le 26 mai que 60 % des personnes interrogées n'approuvaient pas la loi 78, alors qu'une large majorité, même au sein des 18-34 ans, soutenait l'augmentation des frais de scolarité.
Le plus radical des trois syndicats étudiants, la Classe (Coalition large de l'association pour une solidarité syndicale étudiante), a fait de l'abrogation inconditionnelle de la «loi spéciale» son nouveau cheval de bataille. Une abrogation qui conduirait Jean Charest à se renier publiquement, après avoir ouvertement joué d'une poigne de fer pour rétablir l'ordre public. Mais «il y a eu tant d'improvisation que cela confine à l'amateurisme», s'étonne le professeur de philosophie politique Daniel Weinstock, de l'université de Montréal.
«Une guerre des nerfs»
Depuis le vote de la loi 78, la querelle a pris une autre tournure, ressemblant parfois à un plébiscite contre Jean Charest, au pouvoir depuis neuf ans et éclaboussé par des rumeurs de corruption. Une commission d'enquête dirigée par la juge France Charbonneau a entamé des investigations sur l'attribution des contrats publics dans le domaine de la construction. Elle devrait rendre ses conclusions… en octobre 2013. «Il ne s'agit pas seulement de manifestations en faveur de la gratuité de l'enseignement supérieur, explique Catherine Legrand, professeur d'études latines à McGill. L'augmentation des frais de scolarité est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, après une décennie de gouvernement Charest et toutes ces affaires de corruption. Les gens ont l'impression que l'argent existe, mais qu'il disparaît quelque part en route, et certainement pas dans le financement des universités. Alors ils descendent dans la rue pour marquer leur ras-le-bol.»
Derrière le joyeux tintamarre de la «révolution des casseroles», une grande lassitude se fait sentir dans les rues de Montréal. «Je n'ai jamais vu ça, soupire Mélanie Carpentier, une avocate québécoise expatriée de 38 ans, de passage dans sa ville natale pour la Pentecôte. Les familles sont profondément divisées sur la loi 78, sur la grève étudiante. Aucun référendum (sur l'indépendance) n'a fait autant de dégâts. Les gens sont épuisés par une guerre des nerfs qui dure depuis trois mois. Il y a beaucoup d'agressivité dans l'air. Je suis vraiment inquiète pour la suite des événements.»
Franceses debatem MERCANTILIZAÇÃO do conhecimento: no Brasil esse NEGÓCIO é DEMASIADAMENTE rentável e em HAVARD, como é? Vem ler!!!!
Pourquoi Harvard ne fait pas rêver ?
Je vois dans l'admiration sans borne que vouent certains à cette machine à diplômes une absence de recul inquiétante. Certes, les lauriers ne manquent pas à cette université privée qui est aussi la plus riche au monde, mais il faut rappelerque le laurier aime à pousser sur le fumier.
Acte I : Nos universités françaises sont pauvres comme Job sur son tas de fumier et tout enseignant qui fait un séjour Outre-Atlantique revient dépité de ce qu'il a vu : des moyens de recherche, des salles et des laboratoires équipés, des amphithéâtres et des bibliothèques high tech, des salaires à faire rêver un professeur de l'université française à deux doigts de la retraite. L'Amérique est un pays jeune qui investit dans ses jeunes et dans le savoir ! Elle produit de la matière grise qui est la condition de son avance technologique qui s'avère elle-même une des sources de son hyperpuissance. The american dream ! Comment ne pas être séduit !
Dans l'article d'Isabelle Rey-Lefebvre (Les secrets d'Harvard, la première des universités, Le monde du 16 mai 2012), on apprend que "44 Prix Nobels, 46 Prix Pulitzer et 8 présidents des Etats-Unis sont sortis de ses rangs". Damned ! S'appuyant sur La face cachée de Harvard de la sociologue Stéphanie Grousset-Charrière, l'article met en évidence les avantages et les inconvénients de l'enseignement si caractéristique de cette université. Nous avons évoqué les avantages dont les inconvénients sont la logique contrepartie : l'enseignant ne s'absente jamais même lorsqu'il est malade ; il personnalise sa relation à l'étudiant et ne le sanctionne pas lorsqu'il l'évalue, mais positive ses travaux afin d'être"constructif".
Cette démarche, vue de Cirius, paraît intéressante et novatrice tant il est vrai que la considération de l'élève vaut mieux que le mépris ou l'humiliation. Mais Harvard n'a pas inventé cette pédagogie de la motivation qui a fleuri en Europe dans le sillage de l'Emile de Jean-Jacques Rousseau. Ce qu'il y a d'inquiétant dans cette relation du professeur et de l'étudiant, ce n'est pas qu'elle soit empreinte de construction, d'écoute et d'attention: c'est qu'elle résulte du clientélisme. En payant très cher son inscription à Harvard, l'étudiant n'attend pas seulement de son professeur qu'il soit savant, compétent et performant : il attend qu'il soit soumis puisque le client est roi.
Ce clientélisme explique que les étudiants évaluent leurs enseignants et que celui qui n'a pas "su les convaincre" se voit congédié de manière unilatérale, comme un valet dans les pièces de Marivaux ! Le payeur sort le payé au pays du du doer qui l'emporte sur le thinker ! Sénèque déjà, qui avait fort à faire avec Néron dont il fut le précepteur, se plaignait, dans son ouvrage Des bienfaits, du fait que la relation humaine à Rome reposât sur la dette : il souhaitait substituer à cette relation du commerçant à son client, celle des dieux aux hommes par laquelle il définissait la bienfaisance. J'en déduis que faire démarrer des enfants dans la vie par une dette constitue un méfait, pour ne pas dire un forfait ! Il n'est pas grave que de mauvais enseignants soient révoqués ; il l'est davantage que la relation entre maître et élève soit commerciale et non intellectuelle. A Harvard, le pédagogique est soumis à l'économique, l'intellectuel à la clientèle.
Acte II : Qui dit dette, dit débiteur. L'étudiant américain est ainsi moins en quête desavoir que de revenus, ne serait-ce ceux qui lui permettront de rembourser sa dette ! Il n'est déjà pas facile de motiver un enfant à apprendre, alors faut-il l'endetter pour transformer son peu d'appétence scolaire en hypermotivation universitaire ? Les libéraux (au sens économique) diront que celui qui s'endette trouve dans celle-ci sa motivation. Le psychanalyste dit la même chose à son patient : paye pour te connaître toi-même. On voit quel masochisme est à l'œuvre dans une telle démarche !
Certes, si Max Weber a bien décrit cette logique dans L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, John Harvard était un jeune pasteur puritain du début du XVIIe siècle, on peut néanmoins se demander si le savoir doit passer par la dette pour s'épanouir et fructifier.
L'inventeur de Face Book, Mark Zuckerberg, n'a pas trouvé son idée dans ce masochisme économique, mais dans une autre pulsion, plus joyeuse ! Ni Marie Curie ni Louis Neels, ni Albert Schweizer ni Bergson ni Camus ni Sartre ne se sont endettés pour enfanter leurs œuvres. Alors que nous savons aujourd'hui que les enseignants français sont moins bien payés que leurs homologues allemands ou anglais, faut-il pour revaloriser le savoir, décréter qu'ils ne mériteront une augmentation de salaire qu'au prix d'une havardisation de leur pédagogie, c'est-à-dire d'un abandon de la relation pédagogique gratuite et désintéressée au profit d'une infantilisation séductrice de l'enseignant sur fond de clientélisme ? L'idée est déjà dans les têtes et dans certains comportements.
Mais à l'heure où les étudiants québécois se révoltent contre une augmentation élevée du droit d'inscription à l'université, à l'heure où la dette étudiante américaine"vient de franchir le seuil de 1 000 milliards de dollars et constitue la première cause d'endettement des Américains", il est peut-être temps de ne pas havardisédavantage les esprits et d'inventer des solutions moins coûteuses et moins castratrices ? Partons du postulat suivant : le savoir est immatériel, abondant, communicable et non nécessairement marchand. Rappelons-nous qu'en grec, école (Skholè") ne veut dire ni client ni dette, mais "loisir" !
Emmanuel Jaffelin, agrégé de philosophie, enseignant au lycée Lakanal Auteur d'un Petit éloge de la gentillesse (François Bourin Editions)
LE MONDE
LE MONDE
A pipa do vovô não sobe mais? Zé Maranhão pode ser colocado pra trás por Luciano Agra kkkkk
UMA CURIOSIDADE... Mesmo depois de ter desistido da REELEIÇÃO o prefeito Luciano Agra (PSB) continua sendo o preferido dos eleitores para disputar o cargo. Estelizabel Bezerra, pré-candidata oficial do governador Richard, não consegue ser catapultada de forma nenhuma. Pois é, o senador cristão Cícero Lucena (PSDB) aparece agora em terceiro lugar. Se Richard quiser ficar com a prefeitura vai ter que tirar Estelizabel da disputa e recolocar o SOLDADO Agra novamente para disputar. O Datavox registrou nova pesquisa em que Luciano Agra e Zé Maranhão estão tecnicamente empatados com 23,1%. O terceiro colocado é o senador Cícero Lucena que tem 17,9%. Em uma simulação de segundo turno em que Agra disputaria com Maranhão o prefeito o venceria com 36, 8% contra 30,05% de Maranhão. A pesquisa foi registrada no Tribunal Superior Eleitoral com o número 00010/2012. Tenho dito!!!
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